Gare de Tram

Située à l'entrée est de la zone 5, elle permet de rejoindre le tram et ainsi d'aller n'importe quelle gare de l'intérieur de Neocity. On y accède par un immense parking souterrain.

L'intérieur est peu soigné, cherchant uniquement le pratique. L'endroit n'est pas sale ni délabré, mais est très peu souvent rénové. Le tram passe régulièrement, toutes les 2 minutes comme dans les autres quartiers.

Le poste de police est présent, mais les contrôles sont rares.

La plupart des personnes fréquentant l'endroit sont assez modestes, voire pauvres. Leur vie est souvent largement orientée vers le travail, la seule voie vers une vie meilleure et moins précaire.

(lors de vos déplacements, faire figurer la garde de provenance et la gare d'arrivée pour que l'on ne s'y perde pas. Si vous changez de zone, faîtes un post d'arrivée dans la gare de l'autre zone, sinon faîtes le voyage en un seul post)

Ruelles

En arrivant devant la gare de Tram, Noâ qui semblait soucieuse depuis une dizaine de minutes, lâcha ma main et me lançe:

- En fait, 'faut que je fasse deux ou trois trucs... On se retrouve comme prévu en ville...

- Pas de problèmes, mais fais attention à toi.

-T'inquiète... mais toi par contre...

Elle avait dit ça avec un froncement de sourcil, ce qui avait pour effet de retrousser son nez, le tout avec un petit sourire, ce qui me fit rire. Elle me plaque un bisou sur la joue et s'éloigne.

Je pars en direction du tram pour le quartier nord.

Gare de tram quartier Nord

Précedent - Le midnight Lady



La grosse berline de Marcelus s'était arretée dans un coin reculé de l'immense parking de la gare. L'homme avait fait ses dernières recommandations à John. Il ne devrait pas s'attarder, la sécurité risquait de passer faire un tour dans les bureaux. Il lui remit la glacière ainsi qu'une cagoule, une paire de gants et un pass de Tram.



John marcha vers la voie en essayant de ne point trop se faire remarquer par les policiers. Mais du poste émanait une legère lueur bleutée, la télé devait être allumée focalisant l'attention des quelques agents présents.

La rame s'arreta devant lui, et les portes s'ouvrirent en harmonie avec les pistons qui poussaient leur courte plainte puis le train s'ébranla direction la zone 4.

Suivant - Gare de tram de la zone 4

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John se heurta au portique, celui-ci lui refusant le passage par une obstination toute à fait mécanique. Un souvenir remonta à la surface de sa mémoire, un certain R.Daneel Olivaw, c'était du temps de Mars, ce mec n'avait pas laissé une trace impérissable. O'Flaghan se le rememorait comme un type tout a fait...mécanique, sans souplesse, pas très fun.

Qui sait peut être un cousin de ce machin de merde

Il se dirigea vers le comptoir.



John n'avait aucune idée de ce que lui demandait la vendeuse, il hocha la tête, acquiessa, mais il était plus préoccupé par le décolté généreux de la demoiselle que par son pass de Tram. Et c'est avec une certaine tristesse qu'il se saisit de l'objet.

Il grimpa dans le wagon qui devait le conduire dans la Z-5.

Suivant - Gare de tram de la zone 5

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Dartois s'engoufra seul dans le wagon.Seul quelques policiers le fixant comme pour deviner ses intentions étaits présent,mais aucun d'eux eu le courage d'aller lui parler après qu'il leur a renvoyé leur regard.
-Direction Enfer
La porte de la cabine se ferma et le wagon partit plein nord....

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[excusez le nombre de fautes du aux accents circonflex mais le clavier bug avec ça -_-' les uatres fautes j'ai pas d'excuses xD]

Le tram s'arrete. Comme à chaque arret depuis la zone 3 on y monte et en descent, quoiqu'ici les gens ne se précipitent pas pour descendre et frenchement....On les comprend.
Qui voudrais trainer dans cette zone où la drogues est devenue un luxe qu'on s'offre pour s'évadé? Personne évidament.
Artémis lui descent tranquillement, un rapide regard autour de lui suffit à faire apparraitre un sourire navré sur son visage. Ici, rien n'as changé.
Sur les banc d'autres jeunes ont pris sa place, il à grandit meme s'il ne s'en ais pas rendut compte. Plus par habtude que par réelle envie il porte à sa bouche une cigarette.
Depuis quelques minutes il pleut de nouveaux. Une flamme jaillit rapidement du briquet et lui permet d'allumer de quoi se cramer encore un peu plus la santé avant que la pluie ais rendut cet exercice difficile impossible.

-Et merde, j'suis bien obliger de reconnaitre que sans l'autre j's'rai encore dans cette putain de misère...

Pestat-il contre lui meme.
Il savait déjà qu'il ne valait rien mais le fait que son jumeaux ais brillament russit dans la vie le lui confirmait un peu plus chaque jours.
Il n'était qu'un poid que son frère devit porté, la seule chose dans laquel il éxélait c'était bien les relations humaines.
Un sourire amusée étirat ses lèvres.
Soudin il se mit à marcher, ça n'était pas tout mais il avait des choses à faire et ça n'était surment pas devant le tram qu'il allait y arriver.

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Suivant les tunnels des égouts, Agito finit par débarquer dans un conduit du métro... C'était assez dangeureux mais il pouvait être sûr qu'il ne croiserait pas de patrouilles ainsi.

Le temps de sortir, deux bruits sourds et lointain se firent entendre. Agito comprit immédiatement et là où il était il ne pouvait pas vraiment éviter ce qui allait se croiser juste là où il était...

Enfournant ses AirTreks sur les rails, il se pencha rapidement en avant... A ce moment là, les roues se firent à tournoyer à une vitesse folle laissant entre elles et les rails des étincelles virvoltantes donnant l'impression d'ailes de flamme. Le requin s'élançait en ayant à sa poursuite une mort douloureuse... Sa seule chance de survie : trouver une alcove destinée aux employés de l'entretien...

Après quelques secondes, il en apperçut une au loin mais déjà au bout du tunnel une lueur naissait. C'était le signe de la faucheuse... Agito accéléra comme il put laissant ses ailes de flammes le guider vers la seule chance de survie.

Tout autre personne aurait eu une chance se rapprochant du zéro, mais lui il avait la possiblité de s'en tirer. Pourquoi laisser cette chance s'envoler? Cette situation attisait une excitation chez Agito... Sans doute était-ce le sens du danger.

Agito s'élança vers le monstre de fer qui en faisait de même... Ce n'était pas du courage mais seulement une envie de survivre qui planait dans ce tunnel sombre... Le jeune homme ne fut alors qu'à seulement deux mètres quand le métro passa sans laisser de trace. Une force incommensurable fila sur les rails après quelques bruits de sonneries d'alerte... Un autre métro avait filé de même mais dans l'autre sens en même temps.

Une fois ces bêtes imposantes passées, le calme revînt dans ce tunnel où un évènement étrange venait de se passer... Rien pas même le bruit d'un rat farfouillant dans les recoins ne persista. Etait-ce la fin?

L'ombre de l'alcove sembla se mouver... Les démons de l'enfer auraient-ils trouver refuge ici? Non pas des moindres. Un légère silouette de visage se laissa entrevoir laissant apparaître un léger sourire...

Le requin s'élança à nouveau grâce à ses ailes de flammes avant d'atteindre la première station. Il sauta alors sur le quai et remonta telle une flèche et les cheveux sur le visage...

Le prochaine étape n'était pas loin. Il devait être discret où sa nouvelle vie serait fini...

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Artémis avait désormais en poche un petit paquet de poudre magique ainsi que quelques autres réjouissances du genre.
Tout en tapotant la poche qui contennait ces petits trésors il se fit la réflexion que cacher les trésors en question ne serrait pas une mauvaise idée.
Pourquoi? La réponse est simple: Caliban. Il n'avait aucune idée de la réaction qu'il pourrait avoir et à vrai dire il n'avait aucune envie de la tester...
Le jeune homme avait donc utiliser les 3/4 de son salaire pour se procurer ces petite dose de bonheur en boite après avoir fait l'agréable rencontre d'une jeune ouvrière nommé Perséphone.

Le tram arrivait il remettrait donc ses réflexions à plus tard car pour le moment il serait judicieux de monter dans ce fameux tram.

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Je sentais les gouttes de pluie ruisseler sur mon visage, une sensation étrange me parcouru tandis que mes pas se laissaient entrainer, nonchalant, vers une destination que je ne connaissais pas, que je ne voulais pas connaitre. En réalité je connaissais la localisation du lieux, ses accès, les bâtiments qui l'entouraient, et une autre foule de donnée qui n'avait pourtant à mes yeux aucun sens. Je les subissais, et j'en étais conscient mais au fond de moi cela me rassurait car je n'étais pas une cible facile dans un lieu comme celui-ci.
Mais a quoi mon esprit vaquait? Un sentiment de haine m'envahissait, mais pourquoi?

[Katia]: Hé Stungrinn, viens il faut s'abriter. Tomber malade n'est pas conseiller dans notre situation.

Tomber malade? Oui il est vrai que l'organisme humain ne supporte pas très bien les caprices de la météo. Alors pour les hommes qui contrôle le système climatique font que la pluie tombe? Voila une autre question à laquelle la réponse ne me plaisait pas, une réponse qui gorgeait mon coeur de haine. Mais mon corps restait mou fasse à ce sentiment, je ne voulais succombais à cet appelle, je ne voulais pas revivre le carnage de la vielle ville.

Puis un être chaleureux me tira par le bras et le reste suivit vers cet endroit qu'on appelle abris, je ne sais ce qui m'avait pris, mais tout ce que j'ai appris, c'était qu'ici, la vie n'a pas de prix...

[Katia]: Excusez nous jeune homme, on vous embête pas trop?

Cette voix raisonnait dans mon esprit comme un lointain écho, et je restais interdit devant ce ciel qui n'avait pas de sens morale. Tandis que Katia fraternisais avec une personne qui lui était complètement inconnue. Je voulais tendre mes mains vers cette eau miroitante, mais mes muscle charmés par cette divine pluie restaient immobiles et chaque gouttes raisonnais dans mon âme avec la beauté furieuse d'un cauchemar de fièvre

Pourquoi de simple gouttes avaient sur mon esprit l'impact du chaos? Et pourtant je n'avais jamais ressentit autant de bienêtre...

[Stungrinn calme, incroyablement calme]: Et si tu commençait par nous présenter?

[Katia, pleine d'entrain]: Quelle bonne idée, alors lui là c'est Stungrinn, un peu bizarre mais on s'y fait... Et moi c'est la magnifique et sociable Katia... Et toi mon jeune ami?

Sans perdre une seconde Katia et moi entrâmes dans l'abri précaire que nous offrait le pseudo abri planter sur le trottoir. Je crois que c'est à ce moment précis que l'on ressens à quel point cette eau est froide, je dirais même glacée. Un frison me parcourait l'échine pour chaque goutte qui se faufilait dan mon cou. A quelle horrible sensation, dire que quelques instants auparavant, sous cette pluie glacée, je n'avais ressentit aucunement ces frissons, j'avais l'impression de pouvoir y demeurer une éternité. D'un geste vif j'entrepris de m'essuyer la nuque.

Me tournant alors vers ce nouvel étranger dans le tourment de ma vie, je le regardait et fut stupéfait de ce que j'avais en face de moi.
Ce jeune homme n'avait, à première vue, aucun trait spécifique il reflétait une neutralité exagérée.
Pour tout dire je pensais en le voyant que soit il n'était pour tout dire pas bien passionner par la vie, comme si elle n'était à ses yeux qu'un long fleuve qui coule et rien d'autre.
Soit il était nécessaire pour lui de camoufler son fort intérieur et qu'aucunes de ses émotions ne devaient franchir le mur qu'il s'était construit entre lui et le reste du monde.
Enfin voila que je m'adonnais à la psychologie de bas étages sur une impression infondée?
Je ne le connaissait que depuis quelques secondes et je cherchais à savoir tout de lui, même avec si peu d'information. Peut être était-ce la la raison qui faisait que j'avais dans mon esprit ce stock incommensurable d'information. Ma nature première me poussait-elle donc dans cette quête frénétique du savoir et de la connaissance dans tout les domaine de ce monde.
Voila une nature bien cartésienne.

Mais passons, je n'allais pas attendre une éternité sous cet abris, des informations m'attendait et je n'avais pas fait tout ce chemin pour bavarder avec tout les gens que je croisais. Je me tournai alors vers Katia qui apparemment m'avais fixé durant toute ma réflexion, sans perdre de temps en explications futiles je dit:

[Stungrinn]: Allons-y, on nous attends

[Katia]: Attends! On viens juste d'arriver et il pleut encore... Et puis tu ne sais même pas où c'est!!!

Elle se tourna alors vers le dénommé Herbert Stein et demanda:

[Katia]: Dit tu ne serai pas ou se trouve ... heu ... Katia réfléchit un court instant avant de se retourner vers moi puis reprit, Dit Stungrinn c'est quoi déjà l'adresse?

Je poussai alors un soupir de résignation, cette femme m'exaspérait mais j'étais incapable de lutter.

[Stungrinn]: On cherche le 65 rue du vieux...

Il est vrai que Katia ignorait que j'avais ce flots ininterrompue d'informations, et après tout ce n'était pas une mauvaise chose... En feintant l'ignorance, je gardais un atout dans ma manche.

Je souris alors laissant la parole à notre nouvelle connaissance...

Devant le mutisme de ce dernier je finis par hausser les épaules. Apparemment il n'en avait aucune idée mais cela ne faisait rien je savais où aller.

Saisissant le poignet de Katia après avoir saluer l'homme, je conduisis Katia dans le dédale que formaient les ruelles du quartier sud.

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