Routes

Les routes sont de bonne qualité et dans la même fibre synthétique que dans les autres zones, ce qui permet une grande adhérence et une rapidité de déplacement importante. Sur une voie les résistances permettant le déplacement d'hovercrafts a ont été implantés, mais les appareils de ce type sont encore rares.

Les véhicules sont imposants et fonctionnent grâce à l'énergie solaire, ou à l'eau ce qui réduit l'efficacité et les coûts. Il existe aussi des modèles mixtes mais encore pour la plupart à l'état de protoypes.

Il faut compter 10 bonnes minutes entre les premiers immeubles et l'entrée de la ville avec la gare. Les véhicules roulent à plus de 150 Km/h en moyenne.

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J'arrive rapidement à la bretelle de l'autoroute. La voiture prend alors rapidement de la vitesse. J'enclenche le mode automatique, me désintéressant aussitôt de la conduite. Je prends aussitôt le dossier que j'ai toujours avec moi, le relisant pour la énième fois. Je le connais par coeur maintenant...

Il retrace simplement différents évenements qui sont passés inaperçu dans les informations de Neocity. Il m'en a fallu du temps pour ramasser tout ça.

Je regarde la première page, et les quelques dates qui y figurent.

"Janvier 2035, un homme est retrouvé mort dans le quartier est. Les autorités ne trouvent pas l'ombre d'une piste. Les témoins disent avoir vu un fantôme...

Octobre 2038, un officier de police est retrouvé exsangue alors qu'il patrouillait en zone 4, l'enquête ne mêne nulle part..."

Et ça continue, des cas isolés, mais toujours ce côté presque surnaturel. Je repose le dossier sur le siège voisin. Les routes sont vides dans mon sens à cette heure si, si bien que j'arrive très rapidement au parking de la gare. Un instant j'ai envie d'aller au centre commercial voir si je peux flâner un peu comme Andréa aura du retard, mais mes finances sont trop justes et je préfère ne pas leur mener la vie plus dur encore.

Les barrières du parking s'ouvrent et je vais garer ma voiture. Je souris un instant en voyant le numéro de la place:

"Numéro 22 222, et bien, cette soirée commence bien..."

Je me dirige bientôt vers les ascenseurs menant au tram.


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Arrivé à ma voiture j'apose la main sur la plaque et aussitôt la portière s'ouvre. Je m'installe et enclenche le pilote automatique, le véhicule se mettant aussitôt en marche. il se dirige vers la sortie, et fonce alors sur la grande route éclairée comme en plein jour.

Ma main vient sur le siège voisin et saisit les dossiers que je regarde aussitôt. Je dois me forcer pour bien voir, tandis que je fais tourner les pages. Rien ne me saute aux yeux, rien ne se sait, personne ne connait rient de leur existence.

Et pourtant ils existent, ces êtres si étranges, qui tuent et qui semblent n'être que des ombres. Je devrais les craindre, mais je veux savoir, comment?

Le trajet n'est pas long, et je suis tellement prise dans mes reflections que je me rends à peine compte que le véhicule s'est arrêté devant l'automate qui n'attent que moi pour ranger la voiture.

Je ramasse les affaires et sors de l'auto, la verrouillant puis laissant la machine la ranger à sa place.

La rue est plutôt sombre, mais je ne risque rien je le sais. Je me dirige vers l'immeuble, et apposant ma main sur l'identificateur je rentre...


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Je m'engage bientôt sur la bretelle d'autoroute, conduisant assez rapidement l'auto. Il est à peine 13 heures, l'heure parfaite pour circuler facilement. Le moteur s'en donne à coeur joie et je l'entends presque tandis que je file vers la gare.

Des témoins s'allument régulièrement pour me signaler que la vitesse n'est pas sécurisante mais je ne m'en préoccupe pas, et d'ailleurs tout le monde fait pareil à cette heure.

Il me faut donc peu de temps pour rejoindre la gare. Je me dis qu'il serait bon que je fasse quelques courses en rentrant, mais mes horaires coîncident rarement avec les centres commerciaux. Et puis en général je suis trop extenuée après le service pour ce faire.

Je rejoins le parking, et y trouve une place avec l'aide de l'ordinateur de bord.

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Le trajet se fait naturellement, il faut dire que je l‘empreinte presque tout les jours. Il est parfois monotone, c’est vrai… Comme aujourd’hui.

Je peux voir loin devant, la route est dégagée à cette heure ; je ne serai pas en retard.

Comme toujours, je prends la conduite, toutes ces technologies autour de nous, pourrissent tout !
Je n’ai jamais aimé ça, et ce n’est pas maintenant que ça va changer.

La route se poursuit donc, toujours ce même rythme si... habituel.

Bientôt, la tram se dévoile sous mes yeux, je tourne, accédant bientôt au parking.

Je sors de mon immeuble et commence ma route vers le tram. Un leger brouillard couvre le ras du sol jusqu'à mes chevilles et un petite pluie fine tombe. (Ils ont prévu ça jusqu'à midi trente. Ensuite on aura du soleil. Bon il faudrait que je me dépèche un peu sinon il y aura du monde a la queue au tram.) J'accélere mon pas et atteint au bout de quelques minutes la gare.

Il pleuvait. Laurenn aimait bien la pluie. Le ciel était gris plomb. L'eau faisait des ruisseaux sur le pare-brise de la voiture époque Mathusalem de la technicienne et les essuie-glace fonctionnaient à plein régime. Sanglée d'abord dans un imperméable noir, puis dans son harnais de sécurité, les yeux braqués sur la route, la jeune femme réfléchissait.
Oui, parce que c'était bien joli de sortir de son immeuble en trombe et sans prévenir. C'était aussi très sympathique de s'engouffrer dans sa voiture comme une héroïne de roman. Mais restait tout de même à trouver où elle passerait son après-midi - à cette heure, on ne pouvait plus vraiment parler de "journée".
Un coup de tonnerre retentit au-dessus de sa tête. L'orage n'était pas parti pour se calmer. Elle crispa un peu plus les mains sur son volant et accéléra. Elle approchait de la gare du tram. Une fois arrivée là, elle verrait bien. Tout dépendrait du wagon dans lequel elle monterait.

Quelques minutes plus tard, Laurenn se garait devant la gare de tramway de la zone Ouest.
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Rp officiel.


Arthur Voezi allait comme tous les matins vers la gare de tram, pour ensuite aller rejoindre son laboratoire dans la Zone 4. Mais Arthur Voezi, bien qu'il ne le sache pas encore, allait mourir en rejoignant la gare de tram.

Arthur était né 45 ans auparavant dans la banlieue d'une grande ville Marsienne, où très tôt il a étudié la génétique appliquée. Il avait fait une carrière qui aurait pu être brillante, mais il manquait quelque chose. Très intelligent et très motivé il était, mais jamais de grande découverte il ne fit.

Employé chez Luther il décida d'aller sur Neocity pour changer, pour aller de l'avant et pour donner un coup de pouce à sa carrière. C'était il y'a 10 années de celà ; là encore, cela ne donna pas grand résultat.

Ainsi Arthur Voezi était de bien mauvaise humeur quand 6 mois plus tôt on le contacta. On lui proposa de l'argent, et une réputation si le projet fonctionnait, mais en attendant il devait rester parfaitement discret. Arthur accepta bien entendu. Il resta chez Luther, mais travaillait pour quelqu'un dont il ignorait tout, créant et appliquant des théories génétiques. Le projet "Hörn"... Il y avait participé, sans rien savoir de ce qu'il faisait, sans connaître les conséquences des ses actes. Mais aujourd'hui il allait le payer.

Il avait enclenché le pilote automatique, potassant ses dossiers sur le petit ordinateur de poche de très bonne qualité qui était le sien. A ce moment précis, il vit une lumière blanche, presque angélique. La voiture continua sa route, le pare-brise abimé, et alla se garer au parking de la gare. Il était mort, un projectile logé dans son crâne.

Les autorités, étonnemment, le retrouvèrent au bout de quelques instants. Aucun indice... Il avait un ordinateur sur lui, mais il ne contenait aucun fichier... Etonnemment...

La Gare de Tram


La police a déjà encerclé de ses bandes magnétique le périmètre. Il y a peu de foule étant donnée l'heure matinale. Je n'avais pas réussis à rattraper Darius, il coure beaucoup plus vite que moi. Il se presse déjà autour des flics en murmurant des trucs à une petite boîte qu'il tientt en main. Il s'accroupit, parlait, se releve, fait un tour, parle à nouveau et ainsi de suite. Il est juste devant le dernier anneau, le plus proche du crime, je tenais à le rejoindre. Je passe le premier anneau sans problème, mais ce n'est pas le cas du deuxième. J'essaye de forcer le passage même si je sais que c'est parfaitement inutile. Darius me voit, me fait un sourire mauvais et s'approche de moi.

- C'est bête d'être une journaliste de seconde zone n'est-ce pas? On n'a pas tout les coup de pouce qu'il faut, en l'accurance ceci ...

Il montre une légère boss sur son poignet et sourit à nouveau.

- Bon, ce n'est pas tout ça mais, j'ai un article à rédiger. Pense bien à moi quand tu lira les nouvelles.

Fulminante de rage je m'éloigne de lui. Je griffone toujours deux trois trucs utile mais, c'est lui qui aura tous les détails. Bien sûr qu'il avait sont pass LUI, moi je n'ai rien. Je pars, pourquoi rester ici. Je suis en rage. Les quelques affaires auquelles j'avais eu droit, il me les prenait toujours, ça lui fait tellement plaisir.
De mon regard, je fusille tous les passants sans exception. Je devais rentrer chez moi maintenant, rédiger un semblant de papier pour Mr le Big Boss qui va se faire une joie de me virer. J'entends encore ses recommandations le jour de notre entrevue, enfin, rapportée par l'assistant

- Je sais qui vous êtes et je tiens à préciser que si vos compétances sont médiocre, j'entends surtout par là, inférieur à celles de votre mère, vous risquez de ne pas rester longtemps mademoiselle Baranov. Car, bien entendu, on ne vous à pas uniquement engager pour les quelques reportages de qualité bien en-dessus du niveau maternel, mais bon, que voulez-vous, ce n'est pas qui décide qui on engage pas vrai.

Je revoie son air supérieure et suffisant m'adresser un rictus presque méprisant. Je ne l'ai jamais aimé. Ce qui m'a le plus choqué c'est d'apprendre, par hasard, qu'il avait appuyé ma candidature auprès du boss et que celui avait voulu me rencontrer, chose qui ne sait jamais faites. A quoi joue-t-il celui-là? Y a trop de trucs pas net autour de moi, je me disais aussi que le dénommé paradis cachait un truc.
Mais je me perds là, tout ça pour un article foutu. Je dois me ressaisire, je suis sûr de pouvoir m'en sortir. J'irai parler au boss cette fois, directement, sans parler à son stupide assistant de mes deux. De toute façon, j'en suis de plus en plus sûr maintenant, il va se faire virer. Mais je m'en fou, il n'aura que ce qu'il mérite.

Le fait d'errer ainsi dans le quartier ouest me mène, au bout de plus d'une haure, dans la zone 3. Jusqu'à présent, je n'y étais entré que très peu. Je n'avais pas vu ni le temps passer, ni le décors changé, perdue dans mes noires pensées.


Le Bar Kay

RP 2

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Bien, je me dirige vers l’entrée principal de la vieille ville. Le compteur de mon véhicule s’affole et c’est à toute allure que je double pas mal de véhicule. Evidement, cela ne sera pas un acte gratuit.

Il a valut que je me suis fait prendre par un policier. Une amende pour excès de vitesse. Mais grâce à mes dons de diplomate, j’ai pu obtenir une faveur de se policier. Une seconde amende pour insulte sur un agent en fonction.

Il m’a tout de même laissez reprendre la route. Hop encore une voiture de doubler. A sut, c’est pas mon jour. Des policiers banaliser. Toujours le même refrain, papier, en regarde, on se tais, avant qu’il nous disent que tous est en ordre et qu’ils remplissent une nouvelle amende. Cette fois, je me tais. Sali va déjà me passer un savon en rentrant j’ai pas envie de m’en ramasser une nouvelle.

Je reprend ma route, mais cette fois sans les cinquante kilomètres heures de trop. Et c’est après un long moment que j’arrive à l’entré principale ouest de la vieille ville. Et bien sûr, encore un contrôle. Voilà que cette agent me refuse l’entrée, car j’y ai séjourner. Je pourrait avoir un rapport avec un trafics d’arme sortant de la vieille ville. Je remercie encore le chef de secteur qui après m’avoir reconnu m’a laisser entré.

Surtout merci à toi Sali. Il m’a laisser partir car, vu que je travaille avec toi, je ne peut pas être impliquer la dedans. Si il savait c’est pauvres flics. Je me met à rire devant le regard intriguer des agents.

Je laisse mon véhicule sous bonne garde et je rentre dans les égouts conduisant à la citée sous-terrain. A peine ai-je mis un pied dans l’égout que j’entend déjà les flics parler dans mon dos.

"-Qui c’est ce fous ?
-Laisse le va.
-Pourquoi vous l’avez laissez passer chef ? Il peut être dangereux.
-Qui cette idiot ? Laisse moi rire.
-Vous êtes sur que cette Sali est si bien que sa ? Moi je trouve qu’elle… "

La j’en avait entendu trop. Il ne faut surtout pas que je m’énerve, je préfère partir. Insulter Sali serait la dernière chose qu’il aurais fait si on était tous les deux en bas. Mais là, ils était une bonne soixantaine à contrôler dans la douceur de la nuit tombée.

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Il fait froid. Je déteste sortir et "prendre l'air", comme disent les gens. Le ciel me paraît étrange, d'autant plus lorsque je me dis qu'il n'est pas lui même.

Ma voiture n'a pas bougé. Sa belle rayure sur le côté gauche non plus. on a au moins ça en commun.

Je sors du parking et accélère aussitôt. Le traffic n'est aps trop dense à cette heure. Autant en profiter, surtout que je ne suis pas avance.