Neocity Jeu de rôle de science-fiction |
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| Ruelles | |
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+5Plectrude Dartois John O'Flaghan Dakasha Admin 9 participants | Auteur | Message |
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Admin Admin
Nombre de messages : 1233 Age : 38 Localisation : Paris Date d'inscription : 22/03/2006
| Sujet: Ruelles Dim 16 Avr - 16:08 | |
| Les immeubles sont hauts et larges, et les rues entre chacun sont étroites et parfois sinueuses. Les constructions ont été faîtes rapidement et ont continué de se développer dans une relative anarchie.
De petits commerces se sont implantés de part et d'autres, vendant des objets de faible valeur ou de la nourriture plus que basique. Il est aussi possible de trouver des stimulants et des anabolisants, le travail de la plupart des habitants étant pénible et donc la demande assez importante.
Les lieux sont sûrs même si la police y est peu active, car des communeautés d'habitants ont crée des milices pour lutter contre la criminalité naissante notamment ches les jeunes.
Les endroits sont très peu souvent restaurés et il est pas rare de voir des endroits délabrés, voire des terrains vagues et des immeubles abandonnés ou squattés. Les miséreux sont aussi présents, n'ayant pas toujours de logement. Il est donc fréquent que l'on vous demande l'aumône ici. | |
| | | Dakasha Fille des rues
Nombre de messages : 123 Date d'inscription : 13/06/2006
| Sujet: Re: Ruelles Mar 4 Juil - 16:44 | |
| Skat de Dakasha
C'est main dans la main que nous sortons, Noâ et moi, de la ruelle qui relie mon p'tit chez moi vers les grands axes de la ville.
Gare de tram quartier Sud
Dernière édition par le Dim 9 Juil - 1:07, édité 3 fois | |
| | | John O'Flaghan Prisonnier en cavale
Nombre de messages : 62 Age : 42 Localisation : Gare de Tram - Zone 5 Date d'inscription : 04/07/2006
| Sujet: Re: Ruelles Sam 8 Juil - 0:18 | |
| Intro: Mon toit avec vue sur NéocityRencontre du premier type Je suis resté plus d'une heure assis là. Les enfants sont descendus joué avec un ballon dans la rue. Ils me fond de grand signes pour que je les rejoigne. Pourquoi pas, mais je ne pourrais pas rester bien longtemps, il faut quand même que je trouve un job, avec 300 Unis de loyer par mois, va bien falloir s'y mettre. Je prends le temps de saluer mes différents voisins pendant que je descends rejoindre les mômes. Faut dire que je passe devant tant de logements que ça en fait des gens. Je suis un peu surpris car malgrès la pauvreté manifeste, il semble que les gens soient heureux.
Kalinda, l'ainée de mes voisins de terrasse, m'explique rapidement les régles. C'est simple, t'as pas le droit de toucher le ballon avec les mains. Après tu dois le mettre entre le deux poteaux pour marquer un but... J'ai un peu perdu le fil de ses explications, faut dire qu'elle parle sacrément vite la chieuse. A postériori j'aurais du faire gaffe à ce qu'elle me disait, j'ai pas du être très brillant. Au moins ils se seront bien foutu de ma gueule. Il se dirige vers un groupe d'adulte. Ils sont attablés et semblent lancé dans de grandes discutions enportées. On peut les voir faire de multiples gestes qui renderait presque la conversation accessible à un sourd. Ils portent encore leurs vêtements de travail, ce sont des ouvriers, ou des manutentionnaires. Ils doivent pas gagner grand chose, mais ils ne vivraient pas ici autrement. On ne peut pas se laisser fai...
Chut, y un type qui approche.
Et Arthur, sinon, ta fille va bien? Toujours aussi mignonne? Tu sais que si c'était pas ta fille... Je pense que j'interromps quelque chose, je ne peux pas leur en vouloir d'avoir changé de sujet, je reste l'étranger. J'espère seulement que celà ne me prendra pas trop de temps à me faire accepter. John se racle la gorge pour attirer l'attention du groupe qui semble faire comme s'ils ne l'avaient pas remarqué. Heu, bonjour messieurs, dames. Je suis nouveau dans le quartier, je viens d'emménager à côté des Rikhas sur le toit. Je me présente je m'appelle John O'Flaghan.
Lut' moi c'est Marty Wallace et voici ma femme Irine. Hi
Yop, je m'appelle Gontrand mais vaut mieux que vous utilisiez Boule, c'est mon surnom. Ils se présentairent tour à tour et déjà l'atmosphère commençais à se détendre. Ils lui proposèrent un siège, un verre, John s'alluma une cigarette, et en proposa à qui voulait. Suivant
Dernière édition par le Sam 8 Juil - 1:22, édité 1 fois | |
| | | John O'Flaghan Prisonnier en cavale
Nombre de messages : 62 Age : 42 Localisation : Gare de Tram - Zone 5 Date d'inscription : 04/07/2006
| Sujet: Re: Ruelles Sam 8 Juil - 1:21 | |
| PrécédentBourde et discrétion John était en train de discuter du quartier, des différents habitants. On lui fit la description de plus d'une centaine de familles. Pendant ce temps, Arthur avait ouvert le paquet de cigarettes puis resta un long moment à l'observer, il le retourna comme s'il y cherchait un mécanisme secret. Il le fit passer à son voisin. Ce dernier s'adressa alors à notre étourdi: T'es pas d'ici, toi! John fût surpris par cette affirmation si soudaine et par l'atmosphère de suspicion qu'imposa le ton de l'individu. Il bafouilla en cherchant ses mots: Heu, nan, j'viens d'arriver... J'espère que ce sera suffisant, qu'il s'en contentera, j'aimerai pas qu'il essaye de découvrir qui je suis, j'ai pas de scénario pour donner le change...Je dis que tu viens pas de Néocity, t'as des clopes martiennes, ya que les riches, les espions ou les immigrés qui en ont. Tu fais partis de quel groupe? Et merde!!Immigré, je suis né sur Mars, je viens de débarquer
Et pourquoi t'es venu? Le tension était toujours à son paroxisme, tous les regards étaient dardés sur O'Flaghan. Ses prochains mots seraient décisifs. Si on te le demande, tu diras qu't'en sais rien
Il avait pris soin de détacher chaque mot, insistant bien sur les sous entendus qu'il y avait derrière cette réponse: ce n'est pas votre affaire et c'est un sujet que nous n'aborderons plus. Il fit mine de se lever. L'homme qui l'avait interpellé fut pris d'un grand éclat de rire, puis lui lança son paquet. T'en fais pas l'ami, t'auras pas de problème avec nous, pour nous, tu es né ici. Puis-je faire quelque chose pour me faire pardonner mon impolitesse? L'atmosphère venait de passer de l'extrème tension à la franche rigolade, il s'en était fallu de peu, mais maintenant John était un habitant à par entière du quartier. C'est possible, je cherche un job, personne n'aurait une idée? On lui indiqua que si il se sentait capable d'accepter un job pas facile, il pouvait aller s'adresser à Caïd Jonas, le responsable de la milice du secteur. Il lui trouverai sans doute un truc à faire, il n'avait qu'a dire qu'il venait du quartier. Suivant
Dernière édition par le Sam 8 Juil - 3:11, édité 1 fois | |
| | | John O'Flaghan Prisonnier en cavale
Nombre de messages : 62 Age : 42 Localisation : Gare de Tram - Zone 5 Date d'inscription : 04/07/2006
| Sujet: Re: Ruelles Sam 8 Juil - 3:09 | |
| PrécedentLa huitième porte John suivait les indications qu'on lui avait fourni pour trouver Caïd. Plus il s'éloignait du quartier où il habitait plus il se rendait compte que c'était une exception. La plupart des rues étaient désertes, pas d'enfants, pas de voisins en train de boire un coup ensemble. Juste tristesse et sombre désarois. A cette heure avancée de la nuit, une légère brume se lèvait, donnant une atmosphère glaciale à chaque objet, que ce soit un tonneau, un lampadaire, un ancien panneau publicitaire dont la puce à cramée depuis longtemps ou un clochard qui mendie quelques piécettes dans l'espoir de s'achater un repas chaud. Après être passé devant de multiples passages, il tourne enfin dans la ruelle qu'on lui a indiqué. Plus qu'une ruelle, c'est une sorte de tunnel. En effet, il y a longtemps un obscur ingénieur a installé des barres de renfort entre deux immeubles qui penchaient trop l'un vers l'autre. Invariablement celles-ci furent réutilisées par les résidents comme une nouvelle structure sur laquelle ils ont rajoutés des pièces attenantes aux deux immeubles originaux. C'est dans le noir d'un passage sinistre qu'il s'engouffre. Il se crispe, se tenant près à voir surgir à tout instant un déséquilibré, un junkie ou un détrousseur. Et c'est presque avec soulagement que notre homme apperçoit ce qui dans un premier temps n'est qu'une faible lueur. Elle va grandissante, et maintenant il arrive à voir là où il se dirige. Il sursaute au moment où un rat lui file entre les pates. Il vient de le déranger en plein repas. Comme pour se rassurer il marmonne pour lui même: Ne soit pas trop confiant, garde tes sens aux aguets, tu ne sais rien de ce Caïd, si tu te fies à ton expérience, ça risque d'être folklorique comme rencontre. En plus comme un crétin t'as pas d'arme. Il reprend sa marche. Le voilà devant une grosse porte de fer. Celle-ci touche presque le sommet de la voûte, mais il faut dire que le plafond n'est que vingt centimètres au dessus de la tête de John. Bizarrement il n'éprouve aucune claustrophobie à vivre cette situation. Ca me rappellerai presque Phobos.Il frappe trois grands coups suivis de deux autres. Instantanément, une trappe souvre au niveau de ses yeux, il n'apperçoit à traver qu'un grande masse, qui semble faire un pénible effort pour se mettre à al bonne hauteur. Qu'est ce que c'est? ,gronde une voix sourde qui semble sortie d'outre tombe
Je viens voir le Caïd, j'habite au Quartiers des Vents et mes voisins m'ont dis que je pouvais venir voir pour un job La trappe se referme, laissant John dehors. Un brin perplexe, il se demande que faire. Bon, techniquement, on m'a pas dis de dégager, ça veut donc dire que je peux , voir que l'on veut que je resteEffectivement, après de longue minutes employées à examiner la porte en long et en large, cette dernière s'ouvre en grande. Il est impossible de voir ce qui se cache au delà, le couloir est pourtant illuminé, mais il est presque entièrement obstrué par la masse plus qu'imposante du gorille chargé de la surveillance. Celui-ci s'incline, laissant à penser qu'il n'arrivera jamais à redresser son énorme corps. La maneuvre manque de souplesse et d'aisance dans l'execution, mais l'on se gardera bien de le faire remarquer à ce monstre dont les bras doivent chacuns peser la moitié du poids de O'Flaghan. Il ne se penche pas par plaisir, mais scrutte un instant le visage du visiteur. Repasse demain matin La porte est aussitôt refermée. Le verrou retombe et le son du choc, clair et métalique, semble s'enfuir dans le passage tel un bruit qui court. Bien, me reste plus qu'a rentrer dormir et revenir demainSuivant | |
| | | Dartois Tueur à gages
Nombre de messages : 275 Age : 32 Localisation : En taule Date d'inscription : 31/07/2006
| Sujet: Re: Ruelles Lun 28 Aoû - 22:42 | |
| http://neocity.heavenforum.org/viewtopic.forum?t=34
"Klank!..." Dartois venait de remettre la plaque sur la bouche d'égouts J'espère que personne m'as vu... Il cacha son Phaser et il se renifla le bras Bon,ça va Puis il marcha jusqu' a la Gare la plus proche...
http://neocity.heavenforum.org/viewtopic.forum?t=41
Dernière édition par le Ven 29 Sep - 3:01, édité 1 fois | |
| | | Plectrude Ouvrière
Nombre de messages : 289 Age : 32 Localisation : Quartier Sud. Date d'inscription : 06/07/2006
| Sujet: Re: Ruelles Dim 17 Sep - 12:49 | |
| http://neocity.heavenforum.org/viewtopic.forum?p=7692#7692
Perséphone avait du temps devant elle. Pas énormément, mais un peu quand même... Il lui faudrait compter une heure pour aller à l'Usine, elle pouvait traîner un peu. Un tout petit peu...
Curieux moment pour se laisser aller à la vie .. Alors que tout allait de mal en pis, alors qu'elle se retrouvait à la porte de chez elle, Perséphone déambulait d'un pas presque allègre dans les ruelles du Quartier Sud. Les mains dans les poches, elle remuait distraitement et du bout des doigts les quelques unis qu'elle avait sur elle. La seule chose qu'elle avait, d'ailleurs. Qui lui permettrait de manger ce soir... Non, mieux ne valait pas qu'elle pense au soir. Elle observait les petits commerçants ouvrirent leurs étales, remplirent leurs vitrines d'objets multicolores... La couleur. Encore une chose dont elle ne profitait plus depuis bien longtemps .. Son regard s'arrêta sur une petite boîte à musique, un jouet d'enfant, d'un rose pimpant. Elle s'approcha et contempla la petite danseuse qui tournoyait au rythme de quelques notes. L'intérieur du coffret couvert d'un doux tissus rose pâle .. Emerveillée, Perséphone restait figée devant la vitrine. Les quelques passants matinaux lui jetaient des coups d'oeil de travers. Que faisait donc cette femme d'âge mûr en extase devant un bibelot de gamin? Un homme à l'intérieur s'approcha tout doucement de la vitrine. Observant Perséphone, un léger sourire naquit sur ses lèvres. De la rue, on ne voyait qu'une grande silhouette trapue dans le reflet de la vitre. L'homme était le propriétaire de la petite boutique. Homme mûr, la quarantaine bien sonnée, les cheveux poivre et sel et le regard très doux. Il restait là derrière sa vitrine à contempler la jeune fille, à se demander quelle pouvait être sa vie, son histoire ... Ce qu'elle cherchait, ce qu'elle attendait, ce qu'elle voyait dans cette boîte à musique ... La petite mélodie de clavecin trottait dans la tête de Perséphone, sa vision se troubla, la danseuse devint flou, elle perdit le point, vacilla ... Mais la musique continuait et la danseuse continuait à tourner avec elle, toute de travers. Ls notes s'envolaient, retombaient, glissaient, de plus en plus vite, et la petite danseuse, peinant, accélérait, tant bien que mal, ses pirouettes maladroites. Le visage de la figurine sembla se crisper, ses yeux semblèrent se remplir de larmes ... Perséphone crut même entendre comme un minuscule sanglot. Et derrière sa vitre, l'homme restait là devant son spectacle, imaginant à défaut de l'entendre la musique de la petite boîte. Les trois personnes étaient comme isolés du monde, on eût pu délimiter une bulle qui les séparerait de la vie. Une bulle dans laquelle résonnait cette petite musique, de plus en plus rapide .. Les notes arrivèrent à leur apogée, innombrables et suraiguës. Soudain, la musique cessa. Un léger bruit mécanique se fit entendre, la danseuse ralentit et s'arrêta, penchée, essoufflée, épuisée. Perséphone chancela. Elle en avait oublié de respirer. Une grande bouffée d'air arriva dans ses poumons, douloureusement réelle. La bulle éclata, le marchand s'en retourna dans l'arrière-boutique, encore sous le charme. Perséphone se redressa lentement.
http://neocity.heavenforum.org/viewtopic.forum?p=7762#7762
Dernière édition par le Dim 31 Déc - 12:50, édité 3 fois | |
| | | Artémis Killery Serveur au Dragon d'Or
Nombre de messages : 296 Localisation : Avec toi dans ton lit xD Date d'inscription : 03/07/2006
| Sujet: Re: Ruelles Mar 26 Sep - 15:55 | |
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Souvenirs, souvenirs. Voilà quelques minutes déjà qu'Artémis déhambulait dans les ruelles du quartier Sud. Regardant le paysages sans vraiment le voir. Des ados déjà désilusionné, quel triste sort et alors? N'avait il pas vécut ça? Lui avait on tendu la main? Une fois une unique fois? S'était on penché sur son cas? Est ce qu'on avait seuelement une fois pensé à l'existance miséreuse de gamins comme lui? Non! Ils pouvaient tous creuvé que tous les grand de la société ne s'en rendraient pas compte à si bien sur il iraient déclaré devant des journalistes enchanté que le taux de délanquance avaient chutée et que tout allait mieux dans le meilleur des mondes...Quel merde! Artémis qui à peine dix minutes avant culpbilisait d'etre un poid pour son jumeaux n'avait plus aucun remord. Pourquoi? Simplement parce que son frère était au moins aussi égoiste que lui et qu'a l'instant présent il le détestait au moins autant que toute ces familles dans lesquelles il avait été placé. C'est la mine sombre, les mains dans les poches, ses cheveux trempé collé devant les yeux cachan la moitié de son visage, qu'il se retrouve propulséun peu plus d'un ans en arrière...Il est de nouveaux le gamin sans avenirs qui vivait ici mais àprès tout a-t-il changé? A-t-il un avenir à présent? Perdut dans ses idées noires il avance sans faire attanetion à ceux qui l'entoure, il se moque de se qui peut se passé dans leur vie aussi minable que la sienne ce qu'il veut c'est acheté ce pourquoi il est venu et repartir.Vite!
Seulement on fait rarement ce qu'on veut et évidament quelque chose tirat Artémis de ses sombres pensées. Quelque chose de peu agréable, des notes de musique- si l'on pouvait encore qualifier ça de musique- vennait de lui transpercé les tympans mais ça n'avait rien de bien méchant comparer à ce qu'il vennait de remarquer. Une jeune femme apparament absorber par la contemplation d'une boite à musique pour enfant. La jeune femme en question n'était pas d'uhne beautée extraordinaire mais la scène avait quelque chose de décalé dans cet univers dégradé et donnait à la jeune femme un charme indéniable.
-Mademoiselle permettez moi de vous dire qu'il n'est pas très judicieux de rester dehors par ce temp.
Artémis c'était approché de la jeune femme tout en parlant. Il lui souriait maintenant de son éternel sourire en coin. Ses cheveux cachant une partie de son visage, son t-shirt trempé collant à sa peau, il n'avait pas vraiment l'air de pouvoir lui donnez des conseils sur ce qui était judicieux ou pas de faire...Mais sa vois était douce et il n'avait eu aucun comportement agréssif envers elle... | |
| | | Plectrude Ouvrière
Nombre de messages : 289 Age : 32 Localisation : Quartier Sud. Date d'inscription : 06/07/2006
| Sujet: Re: Ruelles Jeu 28 Sep - 10:21 | |
| http://neocity.heavenforum.org/viewtopic.forum?p=7712#7712
Perséphone reprit son souffle. Elle secoua la tête pour retrouver ses pensées. Une voix retentit. Elle leva très lentement la tête. Un jeune homme souriant était penché vers elle. Il avait l'air doux et avenant. Il parlait, sans doute .. Enfin, elle voyait ses lèvres s'ouvrir et parler, mais elle ne comprenait pas ce qu'il lui disait. Il s'exprimait très lentement, comme l'on parle à un enfant malade. Mais Perséphone n'entendait de ses mots qu'un vague murmure .. Levant ses yeux gris, son regard rencontra celui du jeune homme. Un regard rassurant. Elle ouvrit la bouche, hésitante : "Que .. que me voulez-vous? "
Un long filet d'eau glacée lui coula dans le dos, et la jeune fille frissonna. Le temps s'était couvert et dans les rues grises une fine pluie mouillait chaque recoin.
http://neocity.heavenforum.org/viewtopic.forum?p=7770#7770
Dernière édition par le Ven 29 Sep - 19:37, édité 2 fois | |
| | | Artémis Killery Serveur au Dragon d'Or
Nombre de messages : 296 Localisation : Avec toi dans ton lit xD Date d'inscription : 03/07/2006
| Sujet: Re: Ruelles Jeu 28 Sep - 21:51 | |
| "Que .. que me voulez-vous? "
Un sourire amusé apparut sur le visage d'Artémis. La jeune femme face à lui était attendrissante. Sa façon d'hésité et ce regard, tout pour donner envie à Artémis de la prendre dans ses bras pour la réchauffer. La réchauffer, elle vennait dailleur de frissonner, la pluie l'avait surment surprise...La réchauffer? Mais qu'est ce qu'il pensait là? Il ne connaissait meme pas son nom et meme s'il n'avait rien d'un véritable gentldames il savait attendre de connaitre un minimum les personnes à qui il adressait la parole...Surtout ne répétez pas ça à Caliban il risquerait de s'éttouffer de rire avant de vous demandez si vous n'etiez pas tomber sur la tete -_-'.
- Ce que je veux? Et bien seulement vous emmener dans un endroit chaud avant que vous ne tombiez malade.
Il haussat les épaules et sourit d'un air impuissant avant de reprendre.
- On serait capable de m'accusser de tentative de meurtre.
Toujours un sourire confiant aux lèvres il prit délicatement sa main et l'entraina sous un haut-vent histoire d'etre un peu moins trempé. Est il nécéssaire de précisé qu'Artémis n'avait rien d'un timide? Enfin il lachat la main de la jeune femme accompagnant ce geste d'un " vous avez la main galcée" en murmurant avant de lui demander à voix haute son prénom. | |
| | | Plectrude Ouvrière
Nombre de messages : 289 Age : 32 Localisation : Quartier Sud. Date d'inscription : 06/07/2006
| Sujet: Re: Ruelles Ven 29 Sep - 19:30 | |
| http://neocity.heavenforum.org/viewtopic.forum?p=7762#7762
Le sourire de l'inconnu s'accentua. Perséphone avait retrouvé ses esprits et l'observait ouvertement. Son regard détailla le jeune homme. Les mèches mouillées qui tombaient sur son front, le dessin de ses yeux, de ses lèvres.. La courbe de son épaule. Le t-shirt qui moulait son torse ... Qui était cet inconnu?
(Aujourd'hui n'est pas un jour comme les autres .. Plus d'événements en une matinée que je n'en ai vu en cinq ans ! Mais que me veut-il donc?)
"Ce que je veux? Et bien seulement vous emmener dans un endroit chaud avant que vous ne tombiez malade."
(M'emmener dans un endroit chaud? Mais ça prendra combien de temps? Il faut que j'aille à l'usine! C'est impératif! Pour qui me prend-il? Sans doute pour une femme normale qui se balade le matin .. Ai-je cet air?)
Perséphone jeta un coup d'oeil à son reflet dans la vitre. Non, elle n'avait pas tellement cet air ... Quoique .. La pluie qui collait sa chemise à sa peau, qui mouillait ses cheveux et les faisait paraître plus brillants et plus foncés que d'ordinaire ... Elle avait presque l'air normale ...
Le jeune homme lui attrapa la main. Perséphone sursauta.
(Hey ... )
La main était chaude et réconfortante, et la jeune fille se laissa entraîner sous un porche sombre. Gênée, elle retira sa main et se remit une mèche derrière l'oreille. Elle eût un sourire timide ..
(Mince, c'est quoi cette histoire?)
Le jeune homme lui sourit ..
"Vous avez la main glacée ..." dit-il, dans un murmure "Comment vous appelez-vous?"
(Je m'appelle .. Mon nom? Il veut savoir mon nom.)
"Perséphone. C'est mon nom."
Sa voix buta, elle hésita un instant et reprit:
"Et vous, comment vous nomme-t-on?"
http://neocity.heavenforum.org/viewtopic.forum?p=7784#7784
Dernière édition par le Sam 30 Sep - 19:56, édité 1 fois | |
| | | Artémis Killery Serveur au Dragon d'Or
Nombre de messages : 296 Localisation : Avec toi dans ton lit xD Date d'inscription : 03/07/2006
| Sujet: Re: Ruelles Sam 30 Sep - 15:56 | |
| La jeune femme en face de lui le détailla avant de jetter un regard dans la vitre derrière eux. Vérifiat elle si elle était présentable? Artémis ne pouvait se douter qu'elle était à cent lieux de se poser cette question...
Prétexterait il un rendez vous urgent s'il savait qu'elle avait vécu cinq ans sans vivre réellement? Peut être...peut être que pour uen fois il aurait des remord et tenterais de ne pas la brissé comme il avait brisé bon nombre de femmes...
Seulement il ne le savait pas et la jeune femme en face de lui replaçait à l'instant précit une mèche de cheveux derrière son oreille avant de lui sourire timidement. Elle était adorablement timide dailleur, ne répondais pas à ses questions, évitait les contacts entre eux et tout ça ne semblait pas être pas dégout vus la nature de son sourire. Non cette jeune femme avait décidément tout pour plaire à Artémis...
"Perséphone. C'est mon nom."
C'était la deuxième fois qu'il entendais le son de sa voix, elle hésita et reprit:
"Et vous, comment vous nomme-t-on?"
- Artémis.
Il aurait put aujouter Killery mais il n'en avait aucune envie, aucune envie qu'elle face le raprochement avec son frère. Caliban Killery PDG d'une de ces grande entreprises, riche, talentueux et bien sûr jalouser par tous ceux des zones défavorisé. Non il n'avait décidément aucune envie qu'elle face le rapprochement avec cet homme qui avait tout réussit dans la vie alors que lui, Artémis, n'était qu'un déchet de la société, un déchet qui n'avait qu'une capacité: Celle de se lié facilement avec ceux qui l'entouraient. Il avait perdut son sourire et son visage s'était assombri. Bien sûr Perséphone avait du le remarquer et c'est pourquoi il enchainat rapidement:
- Permettez mois de vous offrir un café, je m'en voudrais si vous tombiez malade par ma faute!
Bien sûr il l'avait observer avec autant d'intensité qu'elle l'avait fait pour lui si ce n'est plus. Ainsi il avait put remarquer ses cheveux trempé, sa chemise collé à sa silhouette et en avait déduit que s'il restaient trop longtemp sous ce porche sombre elle ne tarderais pas à gelée. | |
| | | Plectrude Ouvrière
Nombre de messages : 289 Age : 32 Localisation : Quartier Sud. Date d'inscription : 06/07/2006
| Sujet: Re: Ruelles Sam 30 Sep - 19:54 | |
| http://neocity.heavenforum.org/viewtopic.forum?p=7770#7770
"Artémis" Répondit le jeune homme.
Une ironie imperceptible glissa sur les traits de Perséphone ... Artémis ... N'était-ce pas là un nom de fille? Une nouvelle fois elle le contempla. Un air soucieux lui faisait soudain froncer les sourcils.
(Eh bien, qu'a-t-il?)
Toutefois Artémis se ressaisit rapidement, l'ombre quitta son visage et redressant la tête, ses lèvres se fendirent en une invitation:
"Permettez-moi de vous offrir un café, je m'en voudrais si vous tombiez malade par ma faute!"
(Oh non, pas maintenant, je n'ai pas le temps! Quelle heure est-il donc? Je ne peux plus traîner! Il faut que j'aille à l'Usine!)
La jeune fille se troubla.
"Oh! Je ... je suis désolée, mais je ne peux pas. Pas ce matin du moins. Je .. je dois aller travailler. Je ..."
Perséphone rougit, embarrassée.
"Je travaille à l'Usine. L'Usine de Conditionnement alimentaire. Comprenez que je n'ai que très peu de temps .. Je .. si vous voulez, je termine à dix-huit heures .. Enfin, je dois vraiment y aller .. A pied c'est assez loin .. Vraiment, je n'ai pas le temps .."
Elle lui jeta un regard d'excuse. | |
| | | Artémis Killery Serveur au Dragon d'Or
Nombre de messages : 296 Localisation : Avec toi dans ton lit xD Date d'inscription : 03/07/2006
| Sujet: Re: Ruelles Dim 1 Oct - 0:12 | |
| Artémis ne réagit pas en voyant l'éclaire d'amusement passé sur le visage de la jeune femme lorsqu'il lui dit son nom. Qu'on face référence à la déesse de l'ancienne Terre lorsqu'il se présentait faisait désormais partit de son quotidient des moqueries là dessus il en avait éssuyé lorsqu'il vivait encore dans le quartier Sud.
Perséphone semblat s'affoler lorsqu'il lui proposat de lui offrir un café et il eut rapidement la réponse à la question qui s'insinuait dans son esprit.
"Oh! Je ... je suis désolée, mais je ne peux pas. Pas ce matin du moins. Je .. je dois aller travailler. Je ..."
Les joues de Perséphone prirent une adorable teinte rougeâtre qui fit sourire Artémis.
"Je travaille à l'Usine. L'Usine de Conditionnement alimentaire. Comprenez que je n'ai que très peu de temps .. Je .. si vous voulez, je termine à dix-huit heures .. Enfin, je dois vraiment y aller .. A pied c'est assez loin .. Vraiment, je n'ai pas le temps .."
Elle lui sourit comme pour s'excuser ce qui fit s'élargir le sourire d'Artémis. Devant elle il avait l'impression d'être un chat face à une sourie terrorisé et frenchement il s'amusait comme un petit fou.
-Hum je vois, c'est dommage j'aurais vraiment aimé passé un peu plus de temps avec vous mais je comprend...
Il avait prit un air embarrasé et ses cheveux étaient retombé devant son visage lui donnait un air un peu triste. Son sourire devenue un peu fade rendait son rôle parfait, la jeune femme face à lui ne devait avoir aucun doute sur la sincérité de cet inconnu...
- Dix-huit heure vous dites? J'espère que vous ne serez pas trop fatigué, pas assez du moins pour vous empêcher de prendre un café en ma compagnie.
Il avait légèrement relevé la tête et prit doucement le bras de la jeune femme écrivant rapidement son numéro sur celui ci espréant ainsi la troublé...
- Je vous laisse le choix de me rappeller ou de m'oublier meme si je vous l'avoue la deuxième solution me séduit plus que la première...
Il lui fit un sourire charmeur qui en aurait fait fondre plus d'une. Il ne voulais pas qu'elle l'oublie et la revoire ne serrait pas désagréable... Sur ce il se mit à marcher à reculons tout en lui adressant un signe de la main il conclut:
- Vous avez les cartes en main...Perséphone.
Il avait souffler son nom comme une confidence et enfin disparut la laissant là, face à une question. Le rappeller?
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Dernière édition par le Lun 16 Oct - 19:44, édité 3 fois | |
| | | Stungrinn Experience
Nombre de messages : 843 Age : 35 Date d'inscription : 11/06/2006
| Sujet: Re: Ruelles Dim 1 Oct - 13:16 | |
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Dans un coin sombre d'une ruelle une porte s'entrebâilla, poussé par mes mains ni trop fort ni pas assez, je pouvais ainsi plonger mon regard au dehors, pour y déceler une quelconque présence. Mais rien... L'horizon se limitait à cette petite rue qui tournait vers la droite, un asphaltage en très mauvais état, et quelques lampadaires dont les ampoules tenaient, miraculeusement, encore. Je poussai un peu plus fort pour ouvrir un peu plus grand et, pour finalement faire un pas dans le monde extérieur.
*Quel soulagement!*
Un air détendu prit, très vite, forme sur mon visage et, je respirai à pleins poumons l'air de ce lieu. Non pas que j'aimais, à ce point, ce taudis, mais il faillait avouer qu'on est mieux ici qu'en bas. Je sentis alors une brise légère s'engouffrer dans mes vêtements, qui était toujours la tenue prise à l'hospital. Levant les yeux au ciel je me rendit très vite compte que le temps n'était pas à son beau fixe. Mon regarde se porta alors sur Katia qui semblait, par un étrange don d'empathie, avoir décelé la raison qui m'avait poussé à porter mon regard sur elle.
[Katia, fataliste]: On a tout laissé là-bas...
En clair, on n'était pas équipé pour ce genre de temps, il faudra sans doute aviser une fois sortis de cette petite ruelle, qui, de par sa largeur, ne laissait pas entrer la pluie, seulement quelques gouttes qui tombaient après s'être accumulées sur le bord des toits. Enfin c'était comme cela que je percevais la situation. Alors que je restais immobile, absorbé par mes réflexions, Katia s'avança à coté de moi avant de dire:
[Katia]: Alors !? Que veux-tu faire maintenant?
[Stungrinn]: En avoir le cœur net!
D'un pas décidé je m'avançais le long de la ruelle, histoire d'en rejoindre une plus large comme celles traversé lorsque je sortis de l'hospital. Katia emboîta le pas sans dire un mot. Il ne fallut que l'espace de quelques secondes pour atteindre une rue plus vivante et, plus large, et apparemment, la pluie était sur son déclin. Quelques gouttelettes tombaient encore, mais rien de très, très méchant.
[Stungrinn]: Voila qui est fait! Bon maintenant revenons en aux faits...
Les yeux froncées, un air grave, les poings serrés, les bas rigides le long du corps, l'heure était grave, tout autant que le sujet que j'allais aborder. Mais Katia n'était pas du genre à se laisser prendre par les évènements sans réagir. Elle pris donc son attitude complice, la même que dans la gare, la même qui m'avait, auparavant, piégée. Et, même en sachant cela, je ne pouvais rester de glace, mais dans cette situation la logique a vite fait de prendre le pas sur les sentiments.
[Katia]: Eh bien on dirait que j'ai payé ma dette en, te sortant de ce trou! et...
[Stungrinn]: Une minute, la traîtrise ne se rembourse pas avec un simple service.
[Katia]: Tu vois tous sous un aspect négatif, ce n'est pas parce que je ne t'ai pas aidé, que je t'ai forcément nui.
[Stungrinn]: Mais... Qui me dit que je peux te faire confiance, qui me dit que tu ne vas pas m'abandonner au moindre signe de danger?
La joute verbale continua, s'accentua, s'amplifia. Elle était stupéfiante, c'était elle la méchante, c'était elle qui m'avait abandonnée à cette meute de Blood-Sisters, mais elle agissait comme si cela n'avait pas d'importance. Mais le pire c'était que ces argument était logique, j'avais beaucoup de mal à lui faire admettre, ma vérité, la vérité. Plus la lutte continuais plus elle prenais l'avantage. Ironie du sort, c'était elle qui allait finir par me faire accomplir ce qu'elle voulait. Une seul solution se présenta alors à moi: L'arbitraire
[Stungrinn]: Peut importe le passé... Si tu veux ma protection, c'est moi et moi seul qui en fixe le prix, s'il ne te convient pas tu est libre de partir.
Je remarquais très clairement ce petit air de victoire sur le visage de celle-ci. Etait-ce son plan qui avait aboutit là où elle le voulait? Etais-je encore tombé dans un de ses pièges minutieusement préparés?
Seul le temps me le dira, en tout cas il faut que je garde un oeil sur elle...
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| | | Linoa Valentine Etudiante? Pas seulement...
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| Sujet: Re: Ruelles Dim 1 Juil - 18:44 | |
| [Post Précedent] Cheuveux noirs, veste noire, pantalon noir, bottes noires ... "Dark"Linoa/Idril arriva à l'endroit indiqué par Verne. Son sabre était dans son fourreau, accroché à sa ceinture, sa petite arbalette était cachée à l'intérieur de sa veste, son bouquin "The Cavern of Steel" de Isaac Asimov était dans sa poche intérieur et elle tenait à la main le mot de Verne. Elle relisit le mot de Verne. *La mort, comme si je la craignais ...* et observa les alentours, elle avait vu juste, la statue d'art moderne était juste en face.
*Bon, j'ai plus qu'à trouver ce Jacob ... En pleine nuit, je suis sûre que ça va être une partie de plaisir ^^ Vous ne pourrez pas vous trompez ? C'est un marrant lui ...*
Bon, quelques clochards dormaient contre un mur, elle se décida à en réveiller un et lui demander ou se trouvait ce Jacob. Elle le secoua gentiment afin de ne pas le brusquer, une fois celui-ci conscient, elle lui demanda gentiment : "Vous ne sauriez pas où habite un certain Jacob ?" | |
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| Sujet: Re: Ruelles Lun 2 Juil - 2:41 | |
| Le clochard mit un certain temps pour emmerger de sa létargie, cela était sans aucun doute du au contenue de la bouteille en plastique recyclé qu'il tenait dans ses mains. Non pas que l'éternelle bouteille de vin en verre, qui accompagne le cliché de l'ivrogne des quartiers pauvre, ait disparue, mais par les temps qui court le vin etait devenue une denrée de synthèse d'une qualité bien inférieure aux breuvages de nos ancêtres, et donc son cour avait atteint les planché, le prix avait donc été revue à la baisse, et tout ce qui l'entoura fit de même. Ainsi la migrenne gagna le pauvre bougre qui reprennait difficilement contact avec ce que l'on appelle la "dure réalité". Un bougonement s'échappa de sa bouche, il venait de réalisé qu'on l'avait tirer, sans autre procès, de son someil salvateur, et aux vus des difficultés, qui ont été sienne, pour le trouver, son humeur n'était pas au beau fixe, surtout qu'il sentait que les effets de l'acool diminuait à vue d'oeil, ou plutôt à sensation de cerveau. De plus le froid commenca à gagner du terrain. En parti réveiller, l'homme découvrit son visage à la demoiselle qui l'avait éveiller. La douceur employé par celle-ci lui permit d'appaisser son resentiment et de prendre sur lui sa colère passagère. Ainsi il put se consentrer sur son environnement.
{Jet de charisme (2)} = raté
L'homme eut tout à coup un sursaut en apercevant son interlocutrice et, prit un peu de recule vis à vis de celle-ci. Il avait les traits mefiants et l'air replié sur lui même. A le voir on comprenait qu'il n'apprecier finalement pas la situation qui lui était présenter, même si il fit mine de d'y prêter une certaine attention désinvolte comme s'il n'en avait finalement pas grand chose à faire. Il écouta la demoiselle posé sa question et y réflechit quelques instants, surement pour remettre de l'ordre dans son esprit brumeux.
{Jet de Psychologie (9)} = réussite
Le vieux bonhomme eut une illumination dans ses yeux qui traduisait qu'il avait enfin les idées claires, pourtant sa voix le trahit en prétendant exatement le contraire, elle fut mal assuré et surtout inconstante dans sa tonalité.
Hé bien ma pe...tite dame, ma mémoire pourait ê...tre plus docile avec de quoi remplir mon gossier.
L'analyse de Dark linoa ne laissait aucune erreur dans son esprit l'homme cherchait à se faire quelques pièces pour se saouler un peu plus et peut être retrouver son sommeil. Malheureusement elle remarqua également son regard étrangement peu baladeur qui fixait quelque chose derière. Celle-ci se retourna pour apercevoir une enseigne lumineuse dont seul le "O" était encore lumineux, et encore celui-ci ne l'était que par acoups. Elle put alors lire sur l'enseigne: "Chez Jacob" , décidement dans ce quartier il était d'une originalité.
Pendant ce temps le clochard paniqué venait de voir partir ça précieuse bouteille et avec elle son délica sommeil. Sa voix tremblotait désormais, et la panique se lut sur son visage alors qu'il se jetait sur les pieds de la demoiselle.
Pitier... rien qu'une petite bouteille... je... je suis sur que je peux vous fournir des informations sur ce jacob qui vous intéresseront... s'il vous plait. | |
| | | Linoa Valentine Etudiante? Pas seulement...
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| Sujet: Re: Ruelles Mer 4 Juil - 16:20 | |
| Linoa réfléchit vite à la proposition du clochard : "Je pense que je vais vérifier par moi-même, les infos je les récupérerais toute seule." répliqua-t-elle au clochard avec un ton pourtant doux.
*Le pauvre, mieux vaut pas le mêler à tout ça.* Pensa-t-elle avant de se retourner vers le bâtiment qu'elle cherchait. L'auréole de néon qui luisait par à coup semblait signifier maladroitement que l'endroit était sûr, mais elle en doutait ... Elle traversa donc la place pour rejoindre le lieu sus-nommé (à court de synonymes -_-) et elle toqua donc lourdement à la porte, trouvant que ça faisait plus "style" que de sonner (bonjour la discrétion ... elle a peur de rien la demoiselle ^^)
[Désolée, post court mais j'ai pas trop d'inspiration -_-] | |
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| Sujet: Re: Ruelles Mar 10 Juil - 0:06 | |
| Linoa avait frapper à la porte de la batisse, le temps et la réponce se fesant long elle eu tout le loisir d'examiner celle-ci, une porte massive de metal surplonbé par l'écrito "Chez Jacob", linoa n'était pas une spécialiste des portes blindés, mais l'expérience de Dark linoa était sufisante pour arriver à la conclusion qu'avec un tant soit peu de matériel celle ci ne tiendrait pas longtemps. après tout cela semblait logique que dans le quartier sud les commerçants se limitent à se protéger des petites frappes qui peuplent les rues de leurs quartiers. Et pour conffirmer ses soupçons, elle analysa les fenêtres qui était quand a elles condamnées, les murs bétonner ne présentait aucune faille qui pourrait faire sourciller la structure et comme le magasin était encastré dans une série continue il n'y avait pas de porte secondaire, enfin pas de porte secondaire qu'elle pouvais voir. Il ne restait qu'a attendre et à se tenir prêt.
Quelques minutes aurait suffit à faire perdre patience à n'importe qui, mais notre jeune dark-linoa n'était pas n'importe qui, et elle attendue, et la réponce se fit enfin voir, enfin entrevoire... La porte entrouverte laissais s'échapper une petite sillouette bien frêle, rabattue sur elle-même, en train de réajuster ses petites lunettes sur un nez aquillin surmonté de deux yeux marron et surmontant une petite barbe cerclant sa bouche. L'air étonné de l'homme avait de quoi étonner la donzelle car c'était un regard qui avait un petit quelque chose d'inexplicable, comme si vous avier perdu un objet quelque part et que des années plus tard vous le retrouviez à des années lumière de là. Ainsi l'homme dit:
"Ho c'est vous !? Je n'aurais jamais crue vous voir si tôt. Voyez vous, vous me prennez de court et je n'ai rien préparer.
Je vous recontacte dans quelques jours, et encore désolé..."
C'est avec un regard d'excuse que l'homme refferma la porte, en bougonnant diverses choses, surment allait il s'affairer à s'occuper de la demoiselle, mais comment la connaisait-il ? | |
| | | Linoa Valentine Etudiante? Pas seulement...
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| Sujet: Re: Ruelles Jeu 19 Juil - 23:01 | |
| Non, cela n'allait pas du tout, il fallait que l'affaire avance cette nuit. Ce n'est pas cet homme qui arrêtera Linoa, elle voulait en savoir plus et elle en saurait plus ! (Du moins, c'est ce qu'elle pensait)
"Non." lâcha-t-elle à l'homme sur un ton autoritaire. "Je n'ai pas quelques jours à ma disposition, je veux résoudre cette affaire au plus vite !" Continua-t-elle sur le même ton en y ajoutant un soupçon d'impatience et d'irritation.
*De plus, je suis certain que cela ne m'apportera rien de savoir, autant que ce soit bouclé au plus vite, que je puisse reprendre mes chasses.* Pensa-t-elle au même moment.
Cela ne l'avait pas frappé que l'homme la connaisse, beaucoup de monde la connassaitn surtout sous cette apparence. S'il la connaissait en tant qu'Idril, il devrait la craindre. Sauf s'il est mieux armé et mieux entrainé, mais elle doutait sérieusement que ce soit le cas. | |
| | | Conteur Le seul, l'unique conteur...
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| Sujet: Re: Ruelles Mer 17 Oct - 19:38 | |
| D'un geste sec Linoa stoppa la porte, pour lui donner un mouvement inverse à celui donné par le viel homme. Dans ce jeu de force l'homme était donné perdant, peut être à cause de son age, ou bien, à la vue de son visage, parce qu'il n'en avait pas l'envie. Le veil homme paraissait tres nettement géné mais se tut tandis que la porte continuait de s'ouvrir.
-Soit! suivez moi je vous pris... Et prenez garde à ne toucher à rien
L'homme finit par offrir un sourir (bienveillant?) à liona en l'invitant à pénétrer dans la petite boutique ou s'entassait tout un tas de débris de l'ancien temps. Il ne fallait pas être un spécialiste pour savoir que beaucoup d'objet ne fonctionnaient plus et ne fonctionneraient plus de si tôt. Ils s'enfoncèrent, apres avoir méticulesement refermer son arsenal de verrou, jusqu'au fond de la boutique vers une petite porte en bois peinte en vert cramoisie, entourer de mur recouvert par uen tapisserie à petite fleur violette sur un fond jaune.
{Jet de connaisance en serrurerie (10)} = Critique
Liona avaitr parfaitement mémoriser et reconnue les mecanismes de protections, ils étaient simple et ingénieux , suffisament complexe pour être pratiquement inviolable contre les amateur et offrir un bon défit à des connaisseur en crochetage. Mais une fois le mécanisme assimilé il sera plus facile de trouver le bon mouvement de crochetage {Si un jour tu as a crocheter cette serrure tu réussira automatiquement}.
La pièece suivante était tout aussi piteuse que la précédente, avec un fort taux d'humidité en plus traduit par une forte odeur de moisie. Traversant cette piece exigue, l'homme dit:
-Bien, il ne vous attend pas vraiment mais je supposes que ca ne changera pas grand chose. Ne posez aucune question ten qu'il n'as pas fini... Vous trouverez certainement ce que vous cherchez... moyennant une petite contre-partie. Enfin vous verrez cela avec lui...
Sans attendre plus longtemps il abaissa le levier d'un mecanime en poussant les yeux d'un personnage sur un tableau. l lui donna quelques indications pour trouver l'homme qui lui donnerai ce qu'elle voulait, en l'avertissantq ue les égout formait un véritable dédale à leur niveau.
(Partie libre, tu suis le chemin qui te plait dans les égouts, dès que tu as fait ce dont tu as envie tu te retrouve devant une porte de metal et tu frappe avec une résonnance à réveiler les morts...)l | |
| | | Stungrinn Experience
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| Sujet: Re: Ruelles Jeu 15 Oct - 0:38 | |
| Précédent Ainsi, mon périple continua, l'étranger ne savait pas où était situé notre destination et apparemment il ne souhaitait pas non plus nous aider à la trouver... Haaaa ! Qu'importe je savais parfaitement ou j'allais, je ne le savais que trop bien. A chaque nouvelle ruelle, rue, avenue(?)... [Je tiens juste a préciser une chose. Dans les quartier Sud on a plutôt tendance à s'orienter sur une certaine optimisation de l'espace au lieu de perde du temps en esthétisme futile et totalement hors de prix. Dans ce soucis d'efficacité les urbanistes (s'il y en a eut) ont restreins les avenue à un ensemble de grandes voix d'accès mieux entretenu que le reste pour permettre, à ce qui en ont la capacité, de ce mouvoir plus facilement dans tout le quartier Sud. A mon avis le force de l'ordre en ont plus souvent usage que les résidents du dit quartier, mais ce n'est que mon avis...] Enfin bref, je disais donc, qu'à chaque intersection, chaque croisement une force invisible, une voix intérieur me guidait à travers le dédale de la ville comme si ces quartiers m'était familier. J'aurai sans doute pu croire qu'ils l'étaient que j'avais passé une grande partie de mon enfance dans ces entrelacs de rues et de routes, mais cette sensation était bien trop présente, elle ne m'avait pas quitté depuis l'Hospital... Je n'ai quand même pas pu passer ma vie à apprendre et mémoriser chaque recoin de cette maudite ville?
Non non et non ! Il y avais sans nul doute une autre explication, quelque chose qui me pendait au nez, et j'allais tout même en oeuvre pour le découvrir.
Pendant ce cheminement, il était clair au yeux de Katia que quelque chose me perturbait. Qu'à chaque fois que cette force m'entrainait dans une nouvelle direction je luttai impuissant contre des fantômes. Les premières fois, elle ne s'en était pas inquiétée. Pour elle je devais surement subir une espèce de frustration de me retrouver à explorer un lieux inconnu en quête d'une destination qui l'était tout autant. Après tout elle n'avais pas tort sur la forme, j'était bel et bien frustrer mais pas pour les même raisons. Pour me soulager de mon fardeau, elle demanda plusieurs fois son chemin, toujours avec son charme et son tact habituel ce qui lui permettait d'obtenir une réponse tout les trois essais. Malheureusement pour moi quand la personne connaissait le chemin à suivre il ne faisait que confirmer ce que je savais déjà ce quine m'aida en rien, bien au contraire...
Katia finit par ne plus savoir quoi faire et la route s'accentua d'un morne. Non pas par qu'il n'y eu nul bruit, ou nulle agitation car le ville était bruyante et agiter, mais par l'atmosphère qui se caractérisait pas une tension, une nervosité pesante.
Et c'est ainsi que nous arriva à destination, Katia quelque peu soulager, Et moi déterminer à trouver des réponses.... | |
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