Entrées

On entre dans la vieille ville par des canalisations ou par des accès aux égouts. Il n'y à pas de lien direct entre la vieille ville et le monde supérieur, et les points d'accès sont très surveillés. Il n'est donc pas étonnant de voire des gardes armés devant de simples évacuations d'ordures.

La vieille ville ne donne pas sur le ciel. Il s'agit d'une espace écrasé par le Neocity supérieur, et une immense plaque maintenue par des milliers de pilliers gigantesques en titane fait office de voûte céleste.

A l'intérieur vous aurez le droit à tous les déchets des usines de la zone 5 qui ne sont pas brûlés. Cette décharge monstrueuse n'est pas en contact avec l'air respiré dans Neocity, et la polution n'atteint donc pas la zone supérieure.

Il est presque impossible de survivre en bas sans masque à gaz. Les individus vivant en bas sont les rejets de la société ou les plus fanatiques.

Précédent

Zone 5 >>> Egouts


Sans résister, je me laisse entraîner par Katia. Une telle fraîcheur, une telle détermination, ne me laisse pas indifférent. Je suis heureux de l'avoir pour guide je ne sais pas ce que je ferai sans elle. C'est peut être pour cela que je me laisse faire. Je ne me suis pas vraiment attardé sur les traits de la jeune femme dans la gare, mais maintenant je les distingue sans efforts particuliers.

Katia a une incroyable chevelure, surprenante par sa teinte violette, de petits yeux couleur noisette, un nez plutôt long, une bouche pulpeuse. Elle a également cinq piercings dispersés sur son oreille droite. D'une taille assez grande (dans les, 1 mètre 80 environ), et une apparence svelte.

La balade a été de courte durée mais nous avons emprunté de nombreux détours. Une fois à droite, puis une autre fois à gauche, prennent des passages très étroits entre deux fabriques. Mais nous voila au bout du chemin car elle me fait signe de m'arrêter. Je compris alors que je devais l'attendre ici.

Alors qu'elle s'éloigne d'un pas déterminé mais d'un air pensif, je me panche discrêtement pour épier la scène. Mais malheusement ni son ni image ne me parviennent. Seul les ombres, du à un lampadère, me renseigne sur la scène, et apparament Katia n'est pas seule.

Il semble qu'ils discutent, mais de quoi? Au bout d'une dizaine de minutes les deux ombres s'agitent. Il semble qu'elles se séparent. Je comprends alors que quelqu'un vient dans ma direction, tandis que la seconde personne s'éloigne. Je rentre alors rapidement ma tête espérant que Katia est bien la personne venant dans ma direction.

Dès que Katia surgit, je ne pus retenir un sursaut, ce qui l'amuse beaucoup. Elle me regarde du coin de l’œil avec un petit sourire tandis que moi, assis parterre je la regarde avec un air honteux. Elle se dirige alors vers le mur, s'accroupit et pousse très fort sur l'une des briques. J'aperçois alors plusieurs sac à dos. Elle en prend deux et m'en lance un.

[Katia souriante]: Allez rends toi utile, tu veux?

Je mets alors le sac sur mon dos sans me poser de question. Elle referme alors la cache en poussant sur une autre brique. Une question trotte alors dans mon esprit. Comment cela marche t-il? Une fraction de seconde plus tard j'ai à nouveau un flash avec la réponse à ma question Un système de contre poids actionne le mécanisme et si l'on appuis sur l'une des deux briques on fragilise l'équilibre du système qui s'actionne entraînant alors l'ouverture de la cache. C'est flash me font de moins en moins peur et je commence à apprécier cette aide non négligeable.

Je suis Katia qui se redirige la ou elle a discuté avec l'autre personne. Cette fois-ci elle n'est pas la. Katia pousse alors la porte de l'impasse. Effectivement j'ai beau regardé partout je ne vois pas d'autre issus. Mais alors où est la deuxième personne? Etant donné qu'elle n'avait pas l'air de se diriger vers la porte, c'est une question qui reste sans réponse. Je franchis la porte à mon tour pour y trouver une échelle qui s'enfonce dans les ténèbres de cette étrange cité.

Mais après tout ai-je vraiment le choix? Je suis donc Katia dans ce qui ressemble bien à l'enfer, surtout au niveau des odeurs qui s'en échappent...

Suivant

Précédent

Egouts >>>> Zone 1 - Quartiers Sud


Ne voulant voir Katia s'éloigner trop loin au risque de la perdre de vue, je me suis mi à dévaler les escaliers en piteux état de l'immeuble où j'ai trouvé refuge. Sautant au-dessus des crevasses, creusé par les ravages du temps ou pour d'autres raisons moins naturelles, où enjambant des éboulis de caillasse, qui jadis comblaient les nombreux orifices, et qui font ressembler cette bâtisse à un gruyère plus qu'à un immeuble...

Une fois, sorti de mon abri, je m'avance à pas feutré pour suivre Katia qui n'est pas vraiment pressé de quitter cet endroit maudit. Alors que je la file, assez discrètement pour ne pas éveiller ses soupçons, j'aperçois la lame, que j'avais lancé sur la meneuse des Blood-Sister. Dans leur empressement, elles ont négligé cette lame, une aubaine pour moi... Je me saisis alors de la lame, enfin j'essai... La lame s'est enfoncée, je ne sais par quel miracle, dans le sol et elle s'est bloquée. La secouant dans un geste mécanique dans la longueur de la lame, je finis après quelques bonnes secondes de combats à la faire sortir de son trou...

[Katia]: Et bien !!! Tu en as mis du temps...

Dans un mouvement vif je me retourne vers elle. Elle m'attend droite comme un piquet, les bras croisés, un regard complice puis un clin d’œil. C'est assez déconcertant. Je ne sais pas si c'est encore une ruse pour me trahir ensuite. En tout cas je ne risque plus de la perdre maintenant.

[Stungrinn méfiant]: Comme on se retrouve... On a des chose a se dire...

Lui dis-je tout en me relevant et en repliant la lame contre mon avant bras. Je l'ai examiné peu avant de me retourner et j'ai remarqué une entaille non négligeable causé par la balle ça qui explique la résistance qu'elle ma octroyer. Mes pensées revenues vers Katia, je me suis mis à la fixer sans un mot. Mon regard était perdu entre la méfiance et la haine, mais celui-ci ne semble, en aucun cas, déstabiliser Katia qui toujours sûr d'elle reste planté sur sa position. Soit si je dois faire le premier pas alors je le ferai.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Je m'avance alors vers Katia calmement, mais sans pour autant changer mon regard, je n'ai aucune confiance en elle désormais, mais si je veux sortir d'ici elle doit coopérer. Je m'approche de plus en plus de la traîtresse, et une étrange envie de lui planter ma lame entre les deux yeux me prend les tripes, mais je la contrôle, enfin pour l'instant. Soudain d'un geste de la main elle me fait signe de m'arrêter. Je m'exécute plus par surprise que par obéissance, mais après tout si je veuille qu'elle me fasse sortir de ce trou à rats il faut, moi aussi que je coopère.

[Stungrinn]: Maintenant que fait-on ?

[Katia]: On va parler, je ne voudrais pas finir comme les trois autres... Et je sais que tu as toutes les raisons de m'en vouloir.

[Stungrinn]: Ne joue pas aux idiotes avec moi ! Tu es une femme pleine de ressource et très intelligente tu sais très bien que j'ai besoin de toi... La question est pourquoi ne t'es-tu pas enfuit ?

[Katia]: Bien... Je vais donc être direct! Tu as du remarqué que je transportais du matériel pour les Blood-Sisters. C'est, en fait, une tache d'initiation, qu'elles m'ont assigné. Elles préparent quelques chose de gros, très gros et je pense que je ne quitterais pas cette position d'initier avant un long moment.
A une époque j'avais des problèmes, beaucoup de problèmes, avec les hommes principalement... Je leur en voulais tellement que les Blood-Sisters se soient avéré la meilleure solution...
Mais toutes ces excursions mon fait renouer avec l'humanité, et, je souhaiterais me désengager de mon serment.

Bien entendu avec les Blood-Sisters c'est tout sauf un jeu d'enfant. Ces femmes sont violentes, impulsive mais surtout elles ne font preuve d'aucune humanité. Si je pars, je suis morte...
J'ai donc moi aussi besoin de toi, vu tes prouesses de tout à l'heure.

[Stungrinn]: Si j'ai bien compris, tu voudrais un échange de bon procédé. Tu me fais sortir d'ici et je te sers de garde su corps ?

[Katia, sa voix ponctuée d'un air grave]: Toi non plus, ne joue pas au plus stupide. Je sais très bien que tu m'en demanderas un peu plus, mais je suis près à en payer le prix.

[Stungrinn]: Je te propose ceci: Tu me fait sortir d'ici et on en discutera là-haut.

[Katia]: Qui me dit que tu ne me trairas pas?

[Stungrinn]: Rien! Mais pour l'instant mieux vaut ne pas traîner dans les parages elles ne laisseront sûrement pas mes actes impunis.

[Katia après quelques secondes de réfléxion]: Tu ne crois pas si bien dire... Bon suis-moi!

Je n'ai pas vraiment saisi le sens de sa dernière phrase mais si elle a dit vrai alors je n'aurais aucun mal à lui soutirer ses informations. Mais pour l'instant partir est la meilleure solution, et Katia semble aussi pressée que moi de sortir de ce lieu. Il est vrai que cela joue en sa faveur car si quelques temps auparavant elle ne s'est pas pressée, c'était sûrement pour m'attendre... En tout cas maintenant que nous ne sommes plus chargés de tout ce matériel inutile, nous serons plus rapidement dehors...

Et j'ai bien cru. A peine une demi-heure de course plus tard l'on voit la grande échelle qui mène aux égouts puis à Néocity...
La monté est peu être pénible mais je suis trop pressé de sortir pour me préoccuper de cela...

Enfin la porte de la liberté...

Suivant

Post précédent


Me voilà dans l’entrée de la vieille ville. Sa pue, c’est sale, j’ai envie de remettre mon dîner. Cette fois c’est sur, j’y suis bien. Je saisit hors de ma porte, une sorte de petit sac en plastique transparent, une sorte de récipient à la forme étrange et percé de milliers de petits trous microscopiques. Je l'installe de façon à ce qu'il me recouvre entièrement la bouche et le nez sans laissez d’espace entre la peau et le sachet.

Je m’avance dans les égouts. Il faut que je retourne là où sont entreposer mes affaires. La première à gauche, non c’est la seconde. Une perte de mémoire qui pourrait me coûter cher. Je rentre dans le premier tuyau à gauche. Je m’avance dans la crasse laissée par les habitant du dessus. Cette fois c’est sur, je n’ai pas pris le bon conduit.

Je fait demis tour et me dirige vers le croisement ou je m’était tromper. De la je reprend le second tunnel. Au bout de dix minutes de marche, je tombe devant une plaque métallique refermant un passage. Je pose ma main sur un dispositif à côté et je j’entre un code vocal. La plaque métallique se bouge.

Derrière elle, se trouve une grande salle. Le plafond est plus haut que les conduit, et la salle est carrée. Dedans, il y a une moto, mais aussi une grande table avec dessus un fusil 9 mm, et des chargeur, une grande épée, des clefs et un ordinateur. Je saisit le 9 mm que je charge, puis que je met sur la ceinture adéquate que je place sous ma veste. Je prend aussi cinq chargeur que je fourre à la hâte dans ma poche et les clefs que je rentre dans la motos après avoir posé le pied dessus.

Je caresse ma moto en montant dessus. Je tourne les clefs et son doux bruit retentis. Je sort par l’entrée en criant.
"-Fermeture."
La plaque métallique se referme derrière moi. Je continue mon chemin jusqu’à la sortie des égout en prennent les chemin ou je sait pas avec ma moto. Evidement, il m’arrive souvent durant se petit voyage au centre des égout de devoir m’abaisser, mais cela n’est rien de grave comparer à se qui se trouve à la sortie de ces égout comparer à se qui se trouve à la sortie de ces égouts.

post suivant

[Post précédent]
Linoa se faufilait avec grâce rapidité dans le labyrinthe que constituait les égouts.
Au bout d'un certain temps, elle s'arrêta net. Elle farouilla à l'intérieur de son manteau et sortit un petit objet en plastique transparent, une sorte de récipient à la forme étrange et percé de trous microscopiques.
Elle l'installa de façon à ce qu'il lui recouvre hermétiquement la bouche et le nez, tout en restant collé à son visage même lors de mouvements brusques.
Elle se remit en route à travers les égouts jusqu'a ce qu'elle arrive enfin dans la vieille ville, enfin ce qu'il en restait ...
Elle s'arrêta quelques instants, le temps de contempler la magnifiscience de ruines vieilles de 450 ans ...
Elle reprit soudain sa course à travers les restes des bâtiments ...
Fonçant semblait-il à l'aveuglette pourtant certaine de son but.
Gauche, droite, droite, gauche, ... A travers les rues, par dessus les ruines ... Elle arrivait enfin vers son but, descendit l'escalier qu'elle connaissait si bien au milieu du bâtiment en ruine, ouvrit la porte et passa le sas.

[Post suivant

http://neocity.heavenforum.org/viewtopic.forum?t=33
Dartois montait depuis un moments l'échelle et avait failli tomber trois fois déja.
Enfin la surface
Il navigua sur un petit radeau de fortune jusque sous le quartier Sud.
Il alla a droite passa trois intersection et puis il rangea son sabre dans un gros sac en plastique puis il attacha le sac a une chaine puis il jetta son sabre dans les égouts après s'être assuré que la chaine était bien accrocher a la rive.
-Bon...
Puis il marcha quelques minutes et il alla a la surface...

http://neocity.heavenforum.org/viewtopic.forum?p=7519#7519