Lorsque l’on arrive dans l’immeuble, le visiteur est surpris par la décoration intérieure qui n’est pas sans rappeler celle d’avant la recolonisation. Le bâtiment est bien construit selon toutes les nouvelles normes développées mais il possède quand même à l’intérieur un charme dit d’ancien temps.
C’est là que l’on peut trouver le bureau de Angus Mc Coy au troisième étage
La porte qui donne accès à son bureau est semi vitrée avec un verre dépoli qui ne laisse voir de l’intérieur qu’une lumière aux teintes jaune orangé. Sur la porte est simplement inscrit « Angus Mc Coy détective privé ».
Lorsque les rares visiteurs franchissent cette porte c’est pour rentrer dans un e petite salle d’attente où une table centrale propose quatre écrans différents branchés sur différentes chaînes d’informations ou de divertissement. Les quatre fauteuils qui font fassent n’ont rien de luxueux mais sont adaptés pour une attente prolongée, ce qui n’est jamais le cas.
Les murs blancs sans décoration rappellent plus l’entrée d’un cabinet médical plus que ceux d’un privé. Une console trône dans un coin par laquelle différentes boissons où en-cas sont disponibles.
L’arrivée dans le bureau se fait par une lourde porte qui fait du lieu un endroit à l’abri des oreilles indiscrètes venant de la salle d’attente. Deux chaises sont devant le bureau qui devait appartenir au précédent propriétaire. C’est un meuble high-tech qui centralise fonctionnalité de travail avec ordinateur qui gère l’ensemble des communications du bureau mais aussi toute la domotique (éclairage, air conditionné, opacification des fenêtres, …). Un gros fauteuil de cuir attend son propriétaire tranquillement. Un placard dans un des murs cache un frigo ainsi que les archives du privé. Un coffre-fort occupe une petite place aussi dans ce placard.
Il est a noté une petite porte portant l’inscription « privé » à côté du placard.
Cette partie privée est réellement l’antre du privé. La lumière y est perpétuellement tamisé. L’occultation des fenêtres est totale. Un léger fond sonore ce fait entendre : de vieux morceaux mêlant classique, jazz, blues, rock mais aucune musique moderne vibrant de leur staccato lobotomisant. Là aussi le seul meuble est un lit lorsqu’il n’est pas escamoté dans le plafond. Il est fait au carré et pas un pli ne froisse les draps.
Un placard intégré renferme un maigre dressing où les vêtements ont beaucoup de place pour respirer. De nombreux disques d’information sur de nombreux domaines (armement, sciences en tout genre, arts martiaux, quelques disques copies de vieux films terriens d’avant la débâcle).
Une douche occupe un coin de cet espace nimbé de couleur orangée douce.
Une deuxième porte peut s’ouvrir sur un couloir différent que celle de la porte d’entrée du bureau.